Vothan Firiel ~ Character torn apart.

TAILLE : 180 cm.
POIDS : Pas plus de 70kgs.
CHEVEUX : Courts, et rouges.
YEUX : Verts, et charmeur.
TROUBLE(S) PHYSIQUE(S) : Œil droit manquant.
SIGNE DISTINCTIF : Cache-œil, et tatouage dans le dos.

ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel.
QUALITÉS : Firiel est de nature confiante, il pense qu’un jour où l’autre il aura toujours ce qu’il a attendu et convoité, et que s’il doit arriver à quelque chose, il y arrivera. C’est aussi pour ça qu’il en reste optimiste. Il voit rarement le mauvais côté des choses, pour lui, il aurait toujours pu se passer pire que ce qu’il a vécu, et vit au quotidien. C’est un jeune homme posé, qui prend toujours son temps pour observer tous les aspects, et tous les changements que vont causer son action. Il est donc quelqu’un de patient, qui aime prendre son temps, et donc ne reproche pas autres de faire de même. Rien n’ira plus vite que la musique. Firiel fait aussi partie de ces personnes qui ont une facilité pour aller vers les autres, et il est dit social grâce à cette facilité.

DÉFAUTS : Le jeune homme est un charmeur, il adore séduire les femmes qui passent près de lui si elles sont à son gout. Quel plaisir il retire lorsque celle-ci se trouve à lui avouer qu’elle l’aime. Cependant, toute séduction est compromise par son gout plus prononcé pour le retard. Retardataire en force, lorsqu’il arrivera à l’heure à un rendez-vous, c’est que la fin du monde approche, méfiez-vous. Mais de toute manière, que cela gêne ou non qu’il soit en retard, il s’en fou. Je m’en foutiste par excellence, si jamais quelques chose gêne, ce n’est pas son problème, mais bien celui des autres. Enfin… Même si ça le touche, il n’en a strictement rien à faire. Beaucoup le sermonnent à propos de son appétit monstrueux, car il faut bien le dire, le jeune Firiel est un véritable morfal. Dès qu’il peut manger, il le fait, et pas dans la demie mesure. Surtout qu’il a tout le temps faim –sauf lorsqu’il est en pleine séduction, cela va sans dire-. En parlant de demi-mesure… Firiel est aussi ce qu’on appelle parfois un boulet, un maladroit. Il a des moments de maladresse extrême, et tout ce qu’il touche finit par se casser, voir même, il lui est arrivé de blesser une personne trop proche de lui à ce moment.

GOÛTS : Niveau musique, Firiel écoute pratiquement de tout. Seul le RAP Français et le R&B l’inssuporte. Niveau bouffe, il est pas difficile, tant que ça se mange.
RÊVE(S) : Aucun.
CRAINTE(S) : Que le bouclier ne fasse plus effet.
AUTRE(S) : Y’a moyen d’avoir une fille à stalker ? (A)

« Étant petit, Firiel était un garçon toujours souriant, qui s’inquiétait de ne pas voir ses camarades de classe sourire. Il allait toujours vers les autres pour les aider, ou pour leur tenir compagnie. C’était vraiment un garçon adorable. Je me souviens d’une fois, en rentrant de l’école, il m’avait raconté ce qu’il s’était passé durant le temps de midi. Un garçon à la table d’à côté c’était fait voler son assiette à la cantine, et il m’a dit, fier de lui « Comme le méchant ne voulait pas lui rendre son repas, j’ai donné mon assiette ! » J’étais vraiment fière de mon petit garçon, autant que pouvait l’être une mère quand on remarque la bonté de son enfant, de sa propre chair. »

« C’est vrai, c’était un bon gamin. Un peu trop fayot à mon gout, mais un bon gamin quand même. Je n’étais pas tendre avec lui, mais il revenait à chaque fois avec cette même phrase, et ce même sourire angélique « Papa, tu as besoin d’aide pour quelque chose ? ». Je ne sais pas comment est-ce qu’il faisait pour toujours avoir se sourire, et ne jamais remarquer la noirceur du monde qui l’entourait. Lorsque je me disputais avec sa mère, il partait s’enfermer dans sa chambre, et revenait lorsque nous nous étions calmés, et surtout il demandait si enfin nous avions « fait la paix. ». Comme si une dispute, même entre adulte pouvait toujours se résoudre. Je n’ai jamais eu le courage de lui montrer du doigt son erreur. »

« Quand son père est parti de la maison après une énième dispute, Firiel changea du tout au tout. Il restait social, et souriant, mais son optimisme naturel changea. Ce n’était plus « Le monde est parfait comme il est ! », au contraire. Il avait changé en « Il aurait toujours pu arriver pire que ça, alors relève-toi. » Mon petit garçon avait grandi, et je ne le reconnaissais plus. Il se foutait de tout, se moquait de la société, et même de lui-même. D’après lui il avait « perdu foi en l’humanité, et ce qu’elle pouvait bien faire ». Ses amis se transformèrent en une multitude de petites amies, amourettes qui ne duraient pas plus d’un ou deux jours. »

« Vraiment, ce gosse était un vrai tombeur. Un week-end sur deux, il était chez moi, et je me débrouillais toujours pour lui garder un moment de libre. Rapidement, je compris que ça ne servait à rien. Il faisait comme moi à son âge, et ça n’aidait pas mon égo. Mon fils me ressemblait plus que ce que j’avais espéré. Je m’enfoutiste et charmeur, tout ce que j’étais étant plus jeune. »

« Il fumait trop, il buvait trop. Quelle fut ma panique et ma peur lorsque j’appris qu’il avait eu un accident en voiture. Avec des amis à lui, que je trouvais bien trop vieux pour qu’ils lui apportent quelque chose de bénéfique. Mon petit bébé, mon enfant. En rentrant d’une soirée, à laquelle je ne voulais pas qu’il participe, son ami, qui avait apparemment trop bu, eu un accident de voiture. »

« A l’hôpital, la première chose qui me frappa, se fut le visage de mon fils. Bander à ne pratiquement plus voir son visage. Puis, mon ex-femme, la tête posée sur le bord du lit de Firiel, en train de pleurer. « Mon enfant, mon pauvre petit bébé… » disait-elle entre deux sanglots. J’essayais de la réconforter tant bien que mal, mais elle me hurla à la figure que je ne savais même pas ce qu’avait mon fils. « Ton fils a perdu un œil ! Tu le comprends ça ?! Son œil droit ne verra jamais plus ! » C’est à ce moment qu’elle se mit à ma raconter comme elle avait vécu le changement de notre garçon. Et c’est à ce moment que nous dûmes prendre une décision importante… »

« Mon ex-mari ne comprenait rien. Il restait focalisé sur l’œil blessé de Firiel. Il ne comprenait toujours pas qu’on ne pouvait plus l’approché, nous étions comme repoussé à chaque fois par une barrière invisible. Mon bébé, mon enfant, je ne pouvais même pas tenir sa main pour lui montrer que j’étais présente, malgré son coma… Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, et j’étais loin d’imaginer la suite. »

« Valise en main, je regardais le bâtiment qui se tenait devant moi. Bordel, qu’est-ce qui avait bien pu passer dans la tête de mes parents. « Tu pourras mieux t’épanouir ici ! » Heureusement que ce n’était pas l’école militaire. Ils avaient peur pour cette barrière qui c’était formée autour de moi, et avait décidés de m’inscrire dans un pensionnat. Je ne savais pas où je mettais les pieds, mais ça, c’était la surprise. »